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Temporada : Luc Jalabert : une première idée de la temporada 2004 aux arènes d’Arles
(29/10/2003)
Dans un entretien à paraître ce jeudi dans l’hebdomadaire « La Semaine de Nîmes », Luc Jalabert fait le bilan de la saison écoulée aux arènes d’Arles et annonce les grandes lignes de ce que sera la temporada 2004 dans le célèbre amphithéâtre romain. Au programme, un total de seize spectacles qui se décompose de la façon suivante : sept corridas de toros, deux de rejones, trois novilladas formelles et quatre novilladas sans picadors.

« C’est la sixième saison que nous attaquons à la tête des arènes, et je peux dire qu’on a quasiment doublé le taux de fréquentation par rapport à la première année. Chaque saison, le public est plus nombreux : rien que cette année, nous avons accueilli un total de 140.000 spectateurs entre les spectacles de tauromachie et de bouvine, ce qui est énorme pour une ville qui compte 45.000 habitants » souligne l’empresa.

« La nouvelle formule de l’Espace toro a connu un gros succès et nous préparons quelques innovations pour 2004. Courant décembre, nous annoncerons les élevages retenus pour la temporada ainsi que certains des toreros engagés avec une première idée du programme. L’annonce des cartels se fera dans la seconde quinzaine de janvier ».

En coulisses, la S.A. Jalabert prépare pour l’année prochaine 7 corridas de toros, 2 de rejones et 7 novilladas, dont 4 sans picadors. Luc Jalabert, qui est aussi l’apoderado du prometteur Eduardo Gallo, croit d’ailleurs au renouveau de la novillada : « Je suis sûr qu’elle va redémarrer très fort et nous allons veiller au niveau des spectacles ».

Quant au bilan de la saison 2003, Luc Jalabert se veut philosophe : « Nous avons eu un pourcentage exceptionnel de toros qui ont embisté durant cinq ans. Disons que nous avons eu cette année une saison plus irrégulière. En passant sous silence la corrida goyesque du Riz, il y a quand même eu des toros importants, dans un corte plus torista, avec les San Martín, Miura et Torrestrella. De plus, Rincón s’est « rétabli » dans le cœur des aficionados français, de même que des toreros comme Loré, Encabo ou Perera ». Et le directeur de la plaza arlésienne croit fermement au créneau choisi : « C’est vrai qu’Arles n’a pas les mêmes moyens que Nîmes mais nous avons l’authenticité d’une région, d’un campo, d’élevages et d’une afición qui nous ont permis de gagner le public par une noble compétition ».

Luc Jalabert, directeur des arènes d'Arles - photo archives Christophe Chay



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