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Temporada : Pampelune – Uceda Leal et Iván Vicente, seules éclaircies toreras dans un ciel de mansedumbre ganadera
(07/07/2007)
Les matadors de toros espagnols Uceda Leal et Iván Vicente ont écouté les seules ovations de la journée face au bétail de Dolores Aguirre, lors de la corrida qui s’est déroulée ce samedi, en fin d’après-midi, dans les arènes de Pampelune. La plaza Monumental de Pamplona a enregistré un plein de no hay billetes pour cette deuxième corrida des Sanfermines.

Le cartel, entièrement espagnol, réunissait José Ignacio Uceda Leal, Iván Vicente et Serafín Marín, opposés à six toros de Dolores Aguirre, très bien présentés et sérieusement armés, mansos en général, et donnant peu de jeu (1er et 5e exemplaires, plus mobiles mais de charge décroissante ; 3e, maniable ; les autres éteints).

Uceda Leal a salué au tiers face au premier toro de la corrida puis a écouté un silence à l’arrastre du quatrième exemplaire.

Iván Vicente a écouté un silence après sonnerie d’un avis à l’issue de sa première prestation puis a salué au tiers lors de sa seconde faena.

Serafín Marín a écouté un silence à l’issue de ses deux combats, le premier étant assorti par la sonnerie d’un avis.



La deuxième corrida des Sanfermines.

Uceda Leal est un habitué des corridas de Pampelune et de ses toros de Dolores Aguirre : l’an passé, déjà, le torero madrilène s’était illustré lors de sa première faena en effectuant une vuelta. Il en a été de même ce 7 juillet, face à un toro manso mais mobile au troisième tiers du combat, et embarqué dans un ensemble élégamment tracé et comportant quelques muletazos importants. José Ignacio n’a en revanche rien pu tirer de son second adversaire, manso de gala, qui s’est totalement dégonflé à la muleta. La faena s’est donc résumée à une course-poursuite désespérée d’Uceda Leal derrière un Dolores à la caste inexistante…

Iván Vicente a également écouté une ovation, mais à la différence d’Uceda Leal, celle-ci a récompensé l’implication de son second combat. Inédit à Pampelune, l’autre Madrilène du cartel a composé la figure avec bonheur devant le cinquième exemplaire lors d’une faena inégale en rythme et qui n’a pas totalement accroché avec les spectateurs. De plus, Vicente n’a pas été en réussite avec l’épée. Lors de son premier combat, le torero originaire de Soto del Real avait hérité d’un toro particulièrement compliqué et assénant quelques coups de tête particulièrement dissuasifs.

Serafín Marín a connu un nouvel après-midi à blanc en dépit de son évidente volonté : bien débutée, sa première faena n’a jamais pris corps en dépit de quelques attitudes notables. Le toreo du Catalan a décrû, à l’unisson du caractère du Dolores Aguirre lors d’un ensemble muletero particulièrement fade. Meilleur avec la cape, Marín n’a encore une fois rien pu tirer du dernier toro de la course.



Uceda Leal, torero de style et de composition, qui mériterait un meilleur traitement de la part des empresas - photo archives Real Maestranza.




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