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Temporada : Féria de Nimes - 4 ème Corrida de la Féria : Pablo Hermoso de Mendoza triomphe coupant deux oreilles puis deux oreilles et une queue. Reportage Vidéo |
(30/05/2009) |
Féria de Nimes - 4 ème Corrida de la Féria Temps mitigé, arènes quasi plein
Le cartel réunissait Pablo Hermoso de Mendoza (Rejon), Espartaco et Cayetano qui affrontaient des toros de (pour le rejon) et de Parlade
Pablo Hermoso de Mendoza coupe deux oreilles à son premier et deux oreilles et la queue à son second.
Féria de Pentecôte- Le reportage Vidéo de la Corrida
Féria de Pentecôte reportage vidéo de la Corrida - www.corrida.tv (23,6 Mo)
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Féria de Pentecôte, Samedi 30 mai. Commentaire de Jacques Massip.
ON AURAIT BIEN AIME QUE LA FÊTE CONTINUE… Quatre oreilles et une queue pour MENDOZA, quand même. Les PARLADE bien fades.
Cette journée a été en général maussade. 11h. Même le soleil, durant la matinée, a fléchi, se laissant dominer par des nuages gris. Le seul trait de lumière est venu de P. H. de MENDOZA, hélas atténué par une décision incongrue du palco : les deux oreilles et la queue accordées au cavalier à l’issue de son second combat sont incompréhensibles. Le rejón de mort porté sûrement sur le rachis fit chuter le toro, aussitôt puntillé avec la rapidité de l’éclair. La lame n’ayant pas pénétré, il est difficile d’accepter l’action en tant qu’estocade. Le président avait-il programmé par démagogie le succès de Mendoza ? Ou bien fut-il victime de son enthousiasme ? Le rejoneador n’avait pas besoin de cela, son talent lui suffit. Il le démontra encore une fois avec ses deux adversaires. On retiendra ente autres l’aspiration du toro sur toute la longueur de la piste, le corps du cheval incurvé présenté comme capote. En ce qui concerne les toreros à pied, ESPARTACO n’étant pratiquement plus en activité et, eu égards à sa formidable carrière et au respect qui lui est dû, on ne pouvait que lui vouloir de triompher. Les Parladé n’étaient présents que physiquement (enfin, ce n’est qu’une formule !) et malgré de très belles séries surtout par naturelles, celui que l’on surnomme « le gentil torero d’Espartina », ne put obtenir qu’un salut au tiers ovationné à l’issue de son second combat. CAYETANO paraissait avoir envie. Il possède une fort belle gestuelle, suave et précise, mais manquant un peu de profondeur. Il salua à son premier. A la décharge de ces deux maestros, il faut souligner le peu de qualité des Parladé, dépourvus de transmission.
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