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Temporada : Arles - 1ère Novillada de la Féria intéressante. Bon lot de novillos de Patrick Laugier (Piedras Rojas) Reportage Video en ligne
(02/04/2010)

Première novillada de la féria de Pâques 2010 - Arles


Beau temps, quart d'arènes. Le cartel réunissait Véronica Rodriguez, Mateo Julian, Borja Jimenez, Jose Mari, El Tolosa et Mojales Balti, face à 6 novillos, très bien présentés de Patrick Laugier (Ganaderia Piedras Rojas).

Veronica Rodriguez (vuelta)
Mateo Julian (1 oreille)
Borja Jimenez (1 oreille)
Jose Mari (1 oreille)
El Tolosa (1 oreille)
Mojales Balti (vuelta)

Très bon comportement dans l'ensemble des novillos de Patrick Laugier.

Le reportage vidéo de la Novillada sans picador de la Feria Pascale d'Arles 2010 :




Le reportage vidéo de la course par lien



Féria d'Arles, ouverture.
Commentaire de Jacques Massip

Les jeunes novilleros à l'épreuve des Piedras rojas.

Vendredi 2 Avril 11 heures.
Tous les Piedras Rojas furent applaudis à leur sortie et à l'arrastre. Bien charpentés, encastés, ils exigèrent courage et technique de la part des novilleros et surtout du pouvoir. Les deux derniers d'un niveau moindre
Joli paseo conduit par Veronica Rodriguez. La demoiselle de San Fernando sut concilier volonté et élégance. En usant de la comparaison sur l'ensemble de la course, la vuelta accordée avait valeur d'oreille. Le poste de chef de lidia présente plus de désavantages que de prérogatives.

Mateo Julian dispose d' un grand potentiel, son toreo profilé, à la fois audacieux et classique, augure d'un avenir certain. Son exigence vis à vis de lui-même est évidente, il peut aller au-delà encore en exprimant plus son plaisir de toréer. On a pu noter des quites très ajustés, sa capacité à reprendre son toro au moment voulu et une belle insistance à gauche.

Borja Jimenez, avec un bagarreur qui permettait néanmoins, fit preuve d'intelligence. Faena en deux parties, d'abord une relative aisance, Puis une cogida très aérienne tendit fortement la confrontation. Le novillero n'abdiqua pas.

Lorsque, le visage ensanglanté, les reins douloureux, Jose Mari se releva, le doute se lisait sur son visage. La cogida qui allait être répétée, avait été dure. Le jeune Mexicain, sur une série gauchère, reprit la situation en mains. Il fallait le faire.

Les deux derniers toreros sont Arlésiens. Ils furent malchanceux au sorteo. De plus, El Tolosa et Mojales Balti connurent des difficultés avec l'épée. Pourtant, l'un et l'autre ne déméritèrent pas.
El Tolosa s'adapta aux demi-tours éclairs de son adversaire, conservant calme et envie.
Balti était aussi très motivé, comme en en témoignent sa porta gayola et la cogida sur un engagement kamikaze avec l'épée. Hélas, quatre descabellos transformèrent l'oreille en vuelta et l'espoir en déception.














 
 
 
 
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