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Temporada : Arles - 3ème Corrida de la Féria. Triomphe de l'Arlésien Roman Perez qui coupe trois oreilles.Le reportage video est en ligne
(04/04/2010)

Troisième corrida de la féria de Pâques 2010, corrida matinale, - Arles


Temps nuageux puis soleil à la fin de la corrida, demi arènes. Le cartel réunissait Antonio Ferrera, Joselito Adame et Roman Perez face à des toros de Ana Romero, très bien présentés.

Seul Roman Perez tire son épingle du jeu coupant deux oreilles face à son premier exemplaire, excellent et une oreille à son second exemplaire, un sobrero de l'élevage de Lopez Gibaja.

Les Ana Romero se sont montrés nobles et encastés, mais faibles, s'employant beaucoup à la pique.

Le reportage vidéo de la Corrida matinale de la Feria Pascale d'Arles 2010 :




Le reportage vidéo de la course par lien


Compte rendu complet prochaînement


Feria d'Arles, dimanche de Pâques 2010, 11 heures.
Commentaire de Jacques Massip.
Trois oreilles pour Roman Perez.

Il suffisait d'être poli et de ne point trop exiger, pour que le troisième Anna Romero de la matinée agrée volontiers toutes les demandes. Roman Perez sut en tenir compte et la générosité fit loi.
D'abord celle du torero dans l'engagement, puis celle du toro, de loin le meilleur de la course, qui tel le furet de la chanson, passa et repassa à plaisir; enfin celle du palco qui, elle, fut jugée excessive par une partie du public: deux oreilles. L'Arlésien ajouta un pavillon de plus avec le dernier toro, un sobrero d'Antonio Lopez Gibaja, sans cou et besogneux, mais doté de fermes jarrets. La faena manqua quand même de relief.
Pour son retour sur son lieu d'alternative, Joselito Adame surprit. Où est passée sa toreria? Malgré son jeune âge, les traits se sont durcis, quelque chose paraît perdu. L'illusion peut-être? Il fut mal servi, c'est vrai, mais ceci n'était sûrement pas la cause de la fermeture de son visage. C'est avec une implication très modérée qu'il banderilla son second toro seulement. C'est au tout dernier instant, sur une très belle estocade, que revint un éclair de lumière, mais toujours pas le sourire, et même pas lors de son salut au tiers. Peu de choses à dire sur sa première actuacion, son adversaire passant le temps couché sur le sable mouillé.
Les charges molles du toro initial du chef de lidia, hachées par des agenouillements, ont eu raison du dynamisme de l'électrique Ferrera. Avec son second, l'espoir, quelques instants, se propagea dans les tendidos. Hélas, pas très longtemps. Le torero rongeant son frein, dut accepter un rôle de composition, se contentant d'égrener une poignée de passes.












 
 
 
 
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