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Temporada : Valencia (Venezuela) : grand après-midi de Javier Conde face à une importante corrida de El Paraíso, et qui sort en triomphe avec José Luis Rodríguez et Manuel Díaz « El Cordobés »
(16/11/2003)
Les matadors de toros espagnols Manuel Díaz « El Cordobés » et Javier Conde sont sortis en triomphe en compagnie du rejoneador vénézuélien José Luis Rodríguez des arènes de Valencia du Venezuela ce dimanche après avoir coupé chacun deux oreilles lors de la quatrième corrida de la Feria de la Naranja.

Devant des arènes pleines, le quatuor composé de José Luis Rodríguez, Manuel Díaz « El Cordobés, Javier Conde et Rubén Darío a affronté un lot de toros d’El Paraíso, bien présenté bien que pauvrement armé, brave et donnant un bon jeu (les 2e et 3e honorés d’un tour de piste posthume ; 5e, 6e et 7e également supérieurs). En ouverture, un toro de Los Paujiles a été lidié à cheval.

Le rejoneador vénézuélien José Luis Rodríguez a coupé les deux oreilles du premier toro de la corrida. Face à un toro un peu court de charge, Rodríguez s’est énormément exposé au fil des planches, parvenant à sortir l’animal de sa querencia et inventant littéralement une faena. Il s’est montré décisif avec le rejón de mort, ce qui a énormément compté dans l’attribution finale des deux trophées. A noter, durant un changement de monte de Rodríguez, le sobresaliente de la course, le matador de toros Rafael Martínez, a pu réaliser un quite par chicuelinas.

Manuel Díaz « El Cordobés » a ravi les deux pavillons du 2e exemplaire puis a écouté un silence à l’arrastre du 5e toro. Après une bonne réception avec la cape, le premier toro réservé à la lidia à pied s’est employé sous le fer du picador de Manuel Díaz. Ce dernier s’est illustré sur un quite par chicuelinas avant de réaliser une faena assez profonde, toréant par derechazos très bas. Malgré une suite plus embrouillée, Manuel Díaz a bien su soumettre le toro avant de placer une bonne entière. Son second adversaire, également brave, a renversé le picador Luis Guimera, avant de se montrer plus réservé à la muleta. Manuel Díaz a tenté de lui voler quelques passes avant de le voir prendre définitivement la direction des planches. Après quelques desplantes – pas toujours du meilleur goût – Manuel Díaz l’a estoqué d’une entière.

Javier Conde a coupé l’oreille du 3e toro après sonnerie d’un avis avant de couper une nouvelle oreille après sonnerie d’un avis face au 6e. Le Malagueño a idéalement accueilli son premier adversaire, castaño, par quatre véroniques avant une demie « maison ». A la pique, le toro s’est employé avec générosité mais Conde a insisté auprès de son picador pour qu’il n’accentue pas le châtiment. Après un quite par chicuelinas du local Darío, Conde a lié avec la muleta une faena exquise, caressant véritablement son adversaire lors de chaque passe. Toréant avec main basse et improvisation, Javier s’est montré supérieur sur chaque corne, liant des muletazos de cachet en regardant les tendidos. A l’issue de ce grand spectacle, une partie du public a demandé la grâce du toro, sans toutefois trouver d’écho auprès de la présidence. Pendant ce temps, Conde, profitant de l’impact laissé sur le public, a continué à toréer l’exemplaire d’El Paraíso qui n’a jamais cessé de charger, bouche fermée. Après avoir reçu l’ordre de la présidence de le tuer, Javier Conde a placé une estocade quasi entière puis quatre descabellos, voyant sa récompense réduite à un seul trophée. Son second adversaire s’est montré plus réservé à la cape et sous le fer du picador, prenant le châtiment avec violence mais sans réelle classe. Muleta en main, Conde a idéalement débuté sa faena par une première série droitière de qualité supérieure. La faena, variée et de bon goût, s’est conclue par une demie lame en bonne place et par deux descabellos.

Le Vénézuélien Rubén Darío a salué au tiers à l’arrastre du 4e puis a écouté des applaudissements après sonnerie d’un avis face au dernier toro de la course. Le torero local n’a rien pu faire face à son premier exemplaire, assez court de charge et n’offrant aucun jeu à la muleta. Darío a placé une belle entière d’effet rapide. Rubén Darío s’est plutôt montré à son avantage face



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