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Temporada : Quito (Équateur) : Andy Cartagena et Morenito de Aranda ravissent les premières oreilles de la Feria du Christ du Gran Poder
(30/11/2003)
Le rejoneador espagnol Andy Cartagena et son compatriote, le novillero Morenito de Aranda, ont chacun coupé une oreille lors de la première novillada de la Feria du Christ du Gran Poder célébrée ce dimanche dans les arènes de Quito (Équateur).

Devant des arènes quasiment pleines, Andy Cartagena, Roberto Rivera et Morenito de Aranda ont combattu un lot de novillos panaché : trois exemplaires de Carlos Manuel Cobo et trois de El Pinar, correctement présentés, mansos en général et maniables (excepté le 3e, pour le rejoneo).

Le novillero équatorien Roberto Rivera « Riverita » a salué au tiers à l’issue de son premier combat puis a été applaudi après sonnerie de deux avis à l’arrastre du 4e novillo. Local de l’étape, « Riverita » s’est bien exposé face au premier novillo de l’après-midi, manso aux piques mais maniable par la suite. Le novillero a été bousculé par manque de recours et d’expérience. Devant le 4e, fortement châtié aux piques, Rivera a lié quelques muletazos isolés, ne parvenant jamais à passer la vitesse supérieure.

Morenito de Aranda a coupé l’oreille de son premier novillo puis a effectué une vuelta à l’issue de son second combat. Le novillero espagnol a reçu a porta gayola le 2e novillo de l’après-midi, liant par la suite de bonnes largas cambiadas. Solide sur ses derechazos, Morenito de Aranda s’est affirmé comme un novillero volontaire et empreint de bonnes intentions. Il a estoqué son novillo d’une entière desprendida. Morenito s’est plus affirmé à gauche devant le 5e, liant de meilleures naturelles templées. Il a perdu avec l’épée une autre oreille, plaçant deux demi-lames et un descabello.

Andy Cartagena a coupé l’oreille de son premier adversaire puis a effectué une vuelta à l’issue de son second combat. Le rejoneador a affronté en troisième position un novillo manso, très attiré par les planches et constamment sur la défensive. Cartagena a réussi à briller face à cet adversaire compliqué, le décollant progressivement de sa querencia avant de poser quelques « violíns » de qualité. Andy s’est également montré à son avantage lors de son second combat face au dernier novillo de l’après-midi, livrant une faena encore plus rythmée, notamment dans la pose des banderilles courtes et d’une rose. A cause d’un pinchazo et malgré un rejón de mort fulminant, le président est resté insensible à la forte pétition d’oreille du public d’Iñaquito.

Andy Cartagena s'est affirmé comme un grand rejoneador dans la capitale équatorienne même si ses adversaires étaient des novillos - photo archives Christophe Chay



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